« La douleur revêt un caractère nostalgique »

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« Fugitive parce que reine » raconte l’enfance de l’auteure dans une famille de la grande bourgeoisie parisienne auprès d’une mère bipolaire. La première partie expose cette vie fantasque et cabossée du point de vue de l’auteure et de sa soeur aînée quand la seconde partie se saisit du regard de la mère, de sa propre enfance à ses derniers jours.

Une petite fiche de lecture comparait ce roman à « Rien ne s’oppose à la nuit » de Delphine de Vigan que j’ai tant aimé. Si le thème rapproche en effet les deux ouvrages, je n’ai ressenti que très peu d’émotions en lisant « Fugitive parce que reine ». J’ai suivi l’exposé de trois vies fracassées sans pour autant en être émue. L’écriture de Violaine Huisman y est certainement pour beaucoup.

A lire à Paris, en Saint-Laurent.

Extrait:

« Seul vit véritablement celui qui vit son destin comme un mystère, celui qui considère les normes comme vaines, celui qui se fout des conventions. »

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