"J'ai peur de façon imprécise"

« Consister à vivre » est le premier tome d’une trilogie. Ce qui interroge puisque ce premier tome ne compte que 160 pages. J’ai vaguement cherché un autre intérêt que celui financier à scinder un texte court (moins de 500 pages certainement) en trois ouvrages. Je n’ai pas trouvé. Dites-moi si vous savez.

Mais peu importe. Christophe Mouton a souffert de la perversité de son père et de la complicité de sa mère. Il tente de réparer par l’écriture ce qui n’a pu l’être par la justice.

Le texte ne laisse aucun doute quant à la souffrance de l’auteur et je pense que nous serions nombreux à reconnaître des scènes familières de notre enfance dans les violences décrites et les conséquences que ces blessures peuvent avoir à l’âge adulte.

Cependant, après avoir refermé ce livre, j’ai été plutôt soulagée que le texte ait été découpé en trois parties et j’ai eu la conviction que je ne lirai pas les deux prochains volumes tant j’ai buté sur le style de l’auteur et ai manqué d’intérêt pour le propos.

J’ai besoin pour aimer un livre d’une petite musique qui parvienne à mon âme. C’est raté pour cette fois.

A lire dans la salle d’attente du psy.

Extrait:

« On a beau vouloir croire que « on t’aime » voudrait dire « je t’aime », en fait non, cela n’a aucun rapport. »

Et vous en pensez quoi?

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :