
Mêlée à l’Histoire italienne de la première guerre mondiale aux années 70, l’histoire de l’autrice et de sa famille.
La violence partout, dans les rues, au sein des institutions et à l’intérieur du foyer.
Comment s’échapper? Sauver sa peau? Vivre avec le poids de ceux qu’on a laissé derrière soi?
Un roman très fort sur les ravages de la violence.
A lire en mangeant la pasta al pomodoro.
Extrait:
« Ce qui m’est arrivé- ce qui arrive à toutes les fillettes du monde-, le monde fait mine de ne pas le voir- nous faisons, tous, comme si de rien n’était. »