
Elle a un bébé et plus d’amoureux.
Elle a des envies, des désirs, mais plus de temps. Tout est happé par la nécessité.
Il y a la colère, la solitude et la culpabilité. Et puis aussi l’amour. Surtout l’amour.
J’ai connu Samira El Ayachi en lisant son roman « Quarante jours après ma mort » que j’avais vraiment adoré.
« Les femmes sont occupées » parlera à toutes les femmes qui se pensent en dehors du rôle qui leur a été assigné, mères ou pas, et donnerait sûrement à réfléchir à bien des hommes.
A lire à Lille.
Extraits :
« Le temps intérieur si profond, si long, celui qui te manque tant, s’est fait littéralement bouffer par le temps des dehors. »
« Toutes les solitudes qu’on se choisit sont belles. »