
En 2015, le frère de l’auteure se suicide après des années de dépression. Ce livre est le récit de l’été qui précède et des mois qui suivent le décès de cet homme exceptionnellement sensible.
Un récit touchant même si j’ai trouvé qu’il manquait d’universalité et donc de potentialité d’écho chez le lecteur.
A lire l’été, pendant des vacances en famille.
Extraits:
« Lire permet non de fuir la réalité, comme beaucoup le pensent, mais d’y puiser une vérité. »
« Le désespoir sans objet le tuait à petit feu, sa culpabilité nourrissant l’impuissance de jouir de ce qu’il avait construit. »
« En plus de sa mort, la vie que je n’ai pas partagée avec lui m’étrangle le coeur »