
Lors d’une soirée de jour de l’an, la narratrice, professeure fraîchement divorcée, rencontre Sarah, violoniste libre et passionnée.
Les deux femmes se lient très rapidement, d’une amitié qui laisse place à la passion quand Sarah dévoile ses sentiments. La narratrice est subjuguée par la vitalité de Sarah et semble vivre un amour fou qui l’entraîne dans une course permanente pour se sentir à la hauteur de son amante.
Un roman agréable malgré un style un peu trop artificiel sur les conséquences des passions qui absorbent toute une vie.
A lire en écoutant un quatuor de Schubert.
Extraits :
« Elle ressemble à un personnage de roman. Elle ne se rend pas compte que c’est douloureux, pour les autres qui l’entourent. »
« Je regarde les gens passer, je les envie de vivre dans toute l’ignorance dont ils semblent faire preuve. Je les méprise peut-être aussi un peu. Pauvres types. Pauvres connes. Vous ne savez pas. A quel point la douleur dure. »
Coucou ! Une jolie histoire mais en effet un peu superficiel et puis la fin part sur un truc peu réalise, j’avais moyennement aimé même si j’ai trouvée belle l’écriture de l’auteure…
J’ai adoré le livre de Pauline que je suis depuis plus de 10 ans sur les différents réseaux sociaux (elle avait même un blog), je suis fan de cette nénette.