
Joanna élève seule son petit garçon. Elle est retournée dans la ville balnéaire dont elle est originaire pour se rapprocher de sa mère et tente de se faire de nouvelles amies.
Au cours d’une soirée, elle relaie une rumeur selon laquelle Sally McGowan, condamnée dans les années 60 pour le meurtre d’un petit garçon alors qu’elle n’avait que dix ans, vivrait en ville sous une nouvelle identité.
La ville entière s’empare immédiatement de la rumeur, faisant basculer la vie de Joanna.
Ca sent le confinement. Je lis tout ce qui me passe sous la main puisque je ne peux plus rien acheter. J’espère que cette errance me réservera quelques bonnes surprises. « La rumeur » n’en fera partie.
C’est le genre de roman qui se lit sans vraiment savoir pourquoi. Le style manque, l’histoire est plate et diluée jusqu’à perdre toute saveur. Jusqu’au dénouement aussi rocambolesque que ridicule.
A lire chez le coiffeur. C’est toujours mieux que « Voici ».
(Ceci dit, depuis, j’ai lu pire…)