Quel plaisir de retrouver la bande à Vernon, gourou malgré lui, dans ce dernier opus de la trilogie.
Je serai très brève parce que je ne veux pas dévoiler l’histoire à ceux qui n’auraient pas encore lu les deux premiers tomes.
Je crois que ce volet est celui que j’ai préféré. La fin du peu d’illusions qui berçait encore ce groupe de doux illuminés, fracassés par la vie. Tout est si juste dans l’écriture de Virginie Despentes. Les phrases sont efficaces, précises. Les émotions dépeintes avec brio. On a presque l’impression de faire partie de cette folle épopée.
Un vrai bon roman, comme j’aimerais être en train d’en lire un en ce moment (mais je me traîne un polar mal écrit dont je me fiche absolument de l’intrigue…).
Putain, j’oublie à chaque fois qu’il FAUT que je lise Despentes. je le note. Ayé. Et merci 😉