« Je me trouverai du côté du bec »

La mère de Sylvain Breuil est morte en lui donnant naissance, laissant son mari inconsolable. 

Dix-neuf ans plus tard, Sylvain n’a célébré aucun de ses anniversaires et il a dû placer son père, précocement atteint de la maladie d’Alzheimer, dans une maison spécialisée.

La bienveillance de son oncle et sa tante et l’amour que lui porte Françoise ne suffisent pas à lui rendre la vie douce. Seules lumières dans sa vie, Stanislav, son ami arménien qui l’aime sans le juger et sa passion pour les pic verts. 

Une passion dévorante dont personne ne pourra le sauver.

Une livre magnifique, du début à la fin.

A lire en forêt.

Extraits:

« Toute application matérielle des découvertes mathématiques nuit à leur esthétique. »

« Accepter est, pour lui comme pour nombre d’individus, une facilité. »

« Bizarre, comme dépossédé de quelque chose qui lui est essentiel pour vivre : l’exceptionnel. »

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