« Ce que j’ai perdu cette nuit-là s’appelle peut-être la légèreté »

La narratrice se rend au commissariat. La veille, un peu ivre, elle qui préfère les femmes est pourtant rentrée chez elle au bras d’un homme. La soirée a viré au cauchemar.

Ballotée d’agent de police en expert, de médecin en avocat, difficile de ne pas se sentir coupable, même lorsqu’on est victime.

Un très beau roman sur la force qu’il faut pour faire appel à la justice.

A lire le coeur grand ouvert.

Extraits:

« L’absence est une présence tyrannique »

« Je ne pense pas que l’on ait toujours intérêt à faire le maximum de ce que l’on est capable de faire. »

« Si je devais pleurer ce que le viol a détruit en moi, je pleurerais toute ma vie. Alors, je vais plutôt pleurer lorsque ma tartine va s’écraser côté confiture sur le carrelage. »

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