
Rose a été éduquée seule par sa mère, Brigitte, réunionnaise arrachée à sa terre pour venir repeupler la Creuse.
Alors que Rose est jeune adulte, Brigitte disparait en lui laissant une lettre dans laquelle elle lui demande de ne pas la rechercher.
Pas d’affinités entre ce roman et moi. Ma lecture a été gênée par de nombreuses phrases verbales, et je n’ai pas adhéré à l’intrigue. Le surgissement d’un deuxième fait divers dans l’histoire initiale sans que j’en comprenne la nécessité a fini de me faire décrocher.
A lire à Berck, sous les cerfs-volants.
Extraits :
« son bonheur lui resterait toujours plus but que réalité »
« Brigitte était une femme difficile à lire, aussi opaque à elle-même qu’aux autres. Histoire d’en faire une qualité, on disait libre. »
« Une journée tatouée, la vie soudain très forte. A l’intérieur de soi, tout a changé. Autour, rien. »