« je savais qu’une vie sans rire, sans choix et sans amour était une vie gâchée »

La narratrice vit dans un pavillon sans âme avec son petit frère Gilles et ses parents. Elle compare sa mère à une amibe tant elle s’efface sous les coups de son père, ogre passionné par la chasse.

Un soir d’été, un accident fait basculer le fragile équilibre des enfants. Loin de se résigner, la narratrice mobilise toutes ses forces pour mettre en place un plan de longue haleine destiné à sauver son frère.

De façon générale, je n’aime pas les histoires contées à hauteur d’enfant. Je trouve que ce n’est jamais réussi. Qu’il est vain d’espérer retrouver l’âme de ces années.

« La vraie vie » n’a pas échappé à la règle. Vite lu et sans plaisir.

A lire au bord d’un petit bois glauque.

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