
Trois vies d’hommes entrecroisées.
Des douleurs à vif et des femmes, pas très réelles, fantasmées.
Un texte original d’où il se dégage une certaine poésie. Et quelques phrases assez justes pour que le texte en entier vaille le détour.
A lire dans le métro.
Extraits:
« Trop jeune pour apprendre que la beauté n’était pas ce qu’en disaient les poètes. »
« Plus que l’enlacer, je voulais lui rompre les os. L’étouffer jusqu’à ce qu’inerte comme une pommade, elle puisse pénétrer par tous les pores de ma peau. »
« Si peu d’instants à vivre ici-bas. Et toujours l’envie de les voir s’écouler plus vite. »
« Parce que c’était ça écrire. Se poser devant une feuille blanche et guérir. »