Une terrible sécheresse contraint la population d’un petit village de montagne à fuir. L’aïeul, un vieil homme de 72 ans, ne peut suivre le mouvement, trop âgé pour marcher des jours durant.
Il reste au village en compagnie d’un chien aveugle pour veiller sur un pied de maïs, unique espoir de grains à transmettre aux villageois quand ils reviendront.
Un très beau texte poétique sur l’amour, l’espoir et la fragilité du souffle.
A lire près d’un étang.
Extrait:
« je ne peux pas y croire, c’est comme si on me parlait d’une nuit sans étoiles. »
Hello ! Juste pour te dire que si je ne commente pas toutes tes chroniques lecture, je les lis invariablement et j’apprécie ta façon de les présenter avec sincérité.
Et rien à vois, mais je suis curieuse de savoir ce que tu as écris sur Harry Potter 🤣