« Ni peur, ni plaisir. Rien que le désir d’un immense oubli. »

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En Algérie, Nadia, enfermée dans sa condition de femme, interdite au désir, cède pourtant à l’amour quand elle rencontre Karim, un été, au bord de la mer.

C’est un roman d’amour. L’amour tel qu’il est. Parfois dur et cruel. Parfois injuste dans ses conséquences.

L’écriture de Maïssa Bey est magnifique. Elle donne envie de mer, d’embruns et de sororité.

A lire dans une chambre fraîche aux volets clos, un après-midi d’été.

Extrait:

« Les mots peuvent faire mal, Fériel, parce qu’ils éclairent, parce qu’ils dévoilent, parce qu’ils mettent à nu les desseins les plus sombres, les pensées les mieux cachées. Parce qu’ils montrent, qu’ils expliquent. Parce qu’ils disent l’horreur, la barbarie, qu’ils nomment l’innommable. Et que sans eux, Fériel, me monde serait sourd. Le monde serait aveugle. »

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