Rachel, alcoolique et désoeuvrée, observe chaque jour, du train qui la conduit à Londres, une maison qui longe la voie.
Petit à petit, elle va jusqu’à imaginer une vie parfaite au couple qui l’habite.
Sa vie va se trouver transformée lorsque, quelques heures après avoir aperçu la maîtresse de maison avec un autre homme que son mari, elle apprend la disparition de cette dernière et se trouve mêlée à l’enquête.
J’ai énormément entendu parler de ce livre ces derniers mois. Et en bien! La sortie du film a achevé de me convaincre.
Je l’ai lu en quelques heures mais, tenue éveillée par une gastro et pas du tout par un suspense insoutenable.
L’intrigue m’a parue assez fade et, comme souvent je trouve dans les polars, de nombreuses scènes se répètent avec d’infimes variations sans rien apporter au récit.
C’est la lassitude qui m’a gagnée plus qu’une montée de l’angoisse et le dénouement n’a, malheureusement, pas su garder son mystère jusqu’aux dernières pages.
Comme quoi l’engouement populaire n’est pas toujours bon conseiller.
Je l’ai échappé belle, j’ai failli l’acheter ce soir !!! La 4ème de couverture m’en a dissuadée : perso j’en ai ras-le-bol de toutes ces héroïnes de films et/ou de livres qui s’appellent Rachel ! C’est vrai quoi ! Dans la vie vie je n’en croise (presque) jamais !!!
Effectivement il ne faut pas se fier aux bruits qu’on entend, le battage médiatique n’est pas forcément signe de qualité (dixit la fille qui s’est laissée aller à acheter un Musso récemment et qu’on n’y reprendra pas de sitôt 😉 )
Je l’ai lu aussi vite qu’un train qui file sur les rails. J’ai passé un bon moment, mais il ne m’a pas laissé un souvenir impérissable.
Tu as tout dit !
Si tu veux des intrigues impossibles à démêler avant la fin, je te conseille les romans de Michel Bussi. Je suis fan😊
Je l’ai lu cet été et j’ai été plutôt déçue. Honnêtement, je ne comprends pas l’engouement pour ce livre. L’histoire est fadasse et même si mon attention a été un temps retenue par Rachel, alcoolique au chômage, j’ai vite perdu tout intérêt pour l’intrigue. Et je ne te parle même pas des personnages masculins. Plus caricaturaux, tu meurs….
Ah ben voilà, même avis que toi… par contre j’ai mis un temps fou à avancer tant j’étais exaspérée par les protagonistes.