Andrew Blake, riche chef d’entreprise anglais, déprime après la mort de sa femme et le départ de sa fille pour les Etats-Unis. Le confort matériel et la réussite sociale ne suffisent plus à son bonheur.
Il décide alors de tout plaquer pour aller jouer les majordomes chez une veuve française dont le domaine périclite et qui ignore tout de son statut.
Le livre narre les péripéties d’Andrew qui se retrouve à jouer les conseillers/anges gardiens auprès de tout le petit monde qu’il fréquente par l’intermédiaire de son nouvel emploi.
Je ne suis pas habituellement lectrice de ce genre de livre. Il m’a été prêté et j’avoue ne pas avoir osé dire « non » de peur de passer pour une pimbêche.
Alors certes, l’intrigue est plus que prévisible et les divers rebondissements n’en sont pas vraiment.
Certes, les personnages sont stéréotypés et très basiques.
Certes, le style n’est pas exceptionnel.
Mais, finalement, ça se laisse lire. J’ai pensé à Anna Gavalda tout au long de ma lecture. Le genre de roman vite achevé, dont on ne se souvient pas vraiment après l’avoir refermé mais qui permet de passer un bon moment.
Alors, après tout, pourquoi pas?
Lire un Legardinier c’est comme savourer une tasse de bon thé accompagnée de brioche un jour de pluie….
Je ne suis pas fermée non plus à ce genre de lecture (encore que je ne pense pas avoir lu Legardinier). Parfois, j’ai envie de lire mais sans savoir quoi, sans vouloir trop m’impliquer émotionnellement et ce type de littérature est parfaite pour ces moments là. Sinon et c’est le plus fréquent, je plonge dans un petit polar ou encore mieux dans un Agatha Christie!
J’en ai pris un de lui à la biblio la dernière fois mais j’ai trop trainé à l’attaquer et du coup je n’ai pas eu le temps de l’ouvrir…il faudra que je re-tente la prochaine fois !
Pour moi, la lecture, c’est pour passer un bon moment, même si le livre ne restera pas forcément dans ma mémoire… J’ai lu « demain j’arrête » et j’ai bien ri pendant les vacances.