« Ce qui compte, c’est ce qu’on ne dit pas. »

Leïla Slimani a accepté de passer la nuit, seule, dans un musée d’art contemporain à Venise.

Ce texte est issu de cette expérience. Leïla Slimani y parle de son enfance, de son père, d’enfermement, du métier d’écrivain…

Un très beau texte qui ne fait qu’accroître ma bonne opinion sur cette autrice.

A lire au musée.

Extraits:

« Ecrire, c’est jouer avec le silence, c’est dire, de manière détournée, des secrets indicibles dans la vie réelle. »

« Moi, c’est le dehors qui me fait peur. Ce sont les autres, leur violence, leur agitation. Je n’ai jamais eu peur de la solitude. »

« Rushdie m’a appris qu’on ne pouvait pas écrire sans envisager la possibilité de trahir, sans dire ces vérités que l’on cache depuis l’enfance. »

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