
Ancien travailleur social reconverti à l’usine par amour, l’auteur décrit ses journées de travail.
L’usine qui absorbe tout, qui empreint le corps et l’âme et qui, paradoxalement, libère.
Un récit poétique et délicat.
A lire devant un steak.
Extraits:
« Reproche n’étant que projection
Ce collègue ne peut être que moi
Je le crains
Une image de mon côté obscur
J’en suis persuadé »
« L’usine est
Plus que tout autre chose
Un rapport au temps
Le temps qui passe
Qui ne passe pas »
Me tente bien. Steack-frites ou steack-haricots verts vapeur ? 🤪Belle journée !