« La solitude constitue un baume précieux pour mon âme. »

En 1771, Werther, récemment installé dans une petite ville dans laquelle il ne connaît que peu de monde, rencontre Charlotte. Il tombe immédiatement amoureux de la jeune femme, pourtant promise à Albert, son fiancé.

Un classique du romantisme épistolaire. Même à l’âge adulte, il demeure un certain emballement à observer les souffrances de cette âme romantique, confrontée à la réalité du monde et aux cruautés de la société.

A lire à Wetzlar.

Extraits :

« les hommes auraient des peines bien moins vives s’ils n’appliquaient pas toutes les forces de leur imagination à renouveler sans cesse le souvenir de leurs maux, au lieu de supporter la pauvreté du présent. »

« L’espèce est singulièrement uniforme. La plupart travaillent une grande partie du temps pour vivre, et le peu de liberté qui leur restées effraie à ce point qu’ils s’efforcent par tous les moyens de s’en débarrasser. »

« Mais il ne faut pas qu’il me souvienne alors qu’il y a en moi d’autres facultés qui pourrissent faute d’être employées. »

Et vous en pensez quoi?

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :