« La mort, dans toute sa crudité, ne lui faisait pas peur. »

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Abigaël, psychologue narcoleptique, travaille sur une affaire d’enlèvements d’enfants qui peine à être résolue quand elle est victime d’un accident de la route auquel elle survit miraculeusement mais dans lequel elle perd son père et sa fille unique.

Traumatisée par la violence de ce double deuil, Abigaël s’enfonce dans la maladie et ne parvient plus à distinguer ses rêves de la réalité.

C’est le premier roman de Franck Thilliez que je lis et j’ai été séduite tant par la construction de l’intrigue que par l’écriture de l’auteur. Contrairement à la plupart des policiers que j’ai lus jusqu’à présent, j’ai trouvé que le dénouement n’est ni prévisible cinq cents pages avant la conclusion ni complètement parachuté. Les clés sont livrées progressivement et j’ai trouvé ça très agréable.

Je réitèrerai certainement au prochain été.

 

 

 

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