« Les filles purifient leur âme de cette souillure grâce au travail »

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Une petite fille demande à sa grand-mère comment elle a rencontré son mari. S’ensuivent deux récits entrecroisés à trente ans d’intervalle pour mener le lecteur à la rencontre de ces deux personnages.

J’ai croisé ce livre plusieurs fois avant de l’acheter et j’en ai entendu le plus grand bien.

Malheureusement, je suis loin de partager l’avis général.

Je me suis ennuyée d’un bout à l’autre de la lecture de ce qui est pour moi un roman à l’eau de rose sans saveur.

Les situations des personnages sont toutes plus énervantes les unes que les autres, aucun ne prenant jamais sa vie en main mais tous se contentant d’en subir les aléas dramatiques sans réagir. Je suis incapable de m’attacher à ce genre de « héros » qui se laisse malmener sans le moindre soubresaut. Ca n’éveille chez moi aucune compassion.

Ajoutons à cette mollesse des rebondissements de l’histoire sans aucune subtilité et on aboutit à une grosse déception.

Tant pis.

 

3 Replies to “« Les filles purifient leur âme de cette souillure grâce au travail »”

  1. Je ne le note pas donc !
    Au fil de tes articles, il apparaît que tu n’aimes pas les personnages qui subissent ou donnent le sentiment de subir leur vie… Et je crois que je te comprends 😉

  2. Tu parviens à terminer les livres qui t’ennuient ? J’admire car j’arrête souvent (sans doute trop tôt) quand ça m’ennuie. Ou je traine le livre des semaines sans jamais le terminer…

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