Olga a 38 ans et deux enfants. Elle a abandonné une carrière d’auteur pour le confort d’une vie conjugale et familiale sans surprise. Chacun de ses jours ressemble au précédent. Jusqu’à cet après-midi où son mari la quitte sans qu’elle n’ait rien pressenti, la précipitant dans un abîme de douleur.
C’est cette douleur que va nous narrer l’auteur. La plongée progressive dans la folie d’Olga qui se vit comme une femme abandonnée et perd rapidement totalement pied.
J’ai beaucoup aimé les deux premiers tomes de la saga écrite par Elena Ferrante plusieurs années après ce roman. C’est ce qui m’a donné envie de découvrir cet ouvrage quand je l’ai croisé à la librairie. Mais je n’ai pu me départir d’une sensation de malaise tout au long de ma lecture. Cette douleur qui ne s’arrête, dans un premier temps, que sur les détails du quotidien, la place des enfants dans cette rupture, négligés, parfois violentés, etc… Olga n’a rien d’attachant et je n’ai été capable d’aucune empathie avec ce personnage.
Je crois que je m’en tiendrai à l’avenir à la tranquille saga par laquelle j’avais goûté cet auteur et dont il me reste deux tomes à lire.
Si vous avez envie de le découvrir, laissez moi un commentaire. Je l’ai chez moi et ne compte pas le garder.
J’ai comme qui dirait l’impression que ce livre n’est pas pour moi… Pour plusieurs raisons 😉
Moi aussi j’ai beaucoup aimé les deux premiers tomes de la saga Elena Ferrante. Mais celui ci me tente moins. J’attends que le tome 3 de la saga sorte en poche ;-°)
Il y a livre triste et livre triste… Un désespoir où on perd pied, ce n’est pas pour moi.