
A Vienne, en 1932, Wilhelm, journaliste ambitieux, rencontre la belle Almah, dentiste bourgeoise à l’esprit libre.
Quelques années plus tard, la montée de l’antisémitisme les pousse à l’exil. Alors qu’ils espèrent rejoindre Myriam, la soeur de Wilhelm, à New-York, c’est la République dominicaine qui leur offre l’asile. Avec d’autres juifs du reich, ils fondent sur cette île méconnue une colonie.
Une fresque légère et facile à lire en dépit des drames qui lui servent de toile de fond.
Un roman d’été comme il existait, quand j’étais enfant, des sagas de l’été diffusées à la télévision.
A lire au soleil.