Au cours d’une réunion d’anciens amis de lycée naît l’idée saugrenue de kidnapper un journaliste, défenseur de thèses économiques ultralibérales, pour lui apprendre ce que signifie « travailler ».
Le passage à l’acte constituera un véritable tournant pour tous les protagonistes de l’histoire.
J’avais adoré « Les vivants et les morts » du même auteur et ai été tentée par la quatrième de couverture quand j’ai croisé ce roman.
Même si, pour moi, cette oeuvre n’égale pas celle que j’ai lue il y a quelques années, je l’ai beaucoup aimée.
L’idée de départ m’a séduite. Confronter un penseur à la réalité de ses propres thèses, c’est toujours merveilleux.
A la lecture, c’est la colère des kidnappeurs qui m’a touchée. Ces hommes et ces femmes encore jeunes mais déjà si abîmés par la vie. Et malgré tout la renaissance de divers espoirs à laquelle on assiste au fil des pages.
Un très bon moment.
Je note… Je viens de lire Romanesque de Benacquista, j’ai beaucoup aimé
Merci pour la découverte.
Original en effet… je n’ai encore rien lui de cet auteur. 🙂