Henry, écrivain quinquagénaire en perte de vitesse, rentre un soir chez lui et découvre qu’un énorme chien y a élu domicile. Ce nouveau compagnon va déstabiliser la famille d’Henry, qui, déjà, ne tenait pas vraiment debout.
Un roman assez drôle qui m’a fait penser à ceux de Jonathan Tropper (que je préfère pour être honnête!) et a nourri mon goût des héros loser.
A lire avec un poilu à ses pieds.
Extraits:
« Ainsi, comme pour tous les hommes, la mort minait Henry J Molise. »
« Et si moi je devais choisir entre mon chien et ma fille, je ne pourrais que choisir mon chien, mais non sans regrets. »
J’en avais déjà entendu beaucoup de bien. A lire donc.
J’ai lu celui-ci il a fort longtemps et je n’en ai pas gardé un souvenir dingue. Il me semble même que je ne l’avais pas trouvé drôle. J’ai du passer à côte de l’esprit « burlesque » du roman!
Ca fait des années que je me dis que je dois lire Jonathan Tropper
C’est drôle, je viens de le finir… je n’ai pas mis de critique parce que je ne savais pas trop quoi dire de ce petit roman tout court, à la fois drôle et dérangeant, cru et bizarre…