Une amie perdue de vue depuis trente ans interroge l’écrivain sur l’âme. S’ensuivent sept lettres portant la réflexion de l’auteur sur cette vaste question.
Si le propos, tout autant que la réflexion de François Cheng, sont intéressants, j’ai trouvé la forme de l’exercice très artificielle et sans véritable apport en comparaison avec les auteurs (trop?) longuement cités dans son ouvrage.
A lire avant une petite séance de méditation.
Extraits:
« Vous avez raison: à l’instar de Georges Perec, chacun de nous devrait écrire un jour-au moins intérieurement- son Je me souviens, car il est essentiel de retracer, pour soi ou en le partageant, l’itinéraire de son âme, qui est notre vraie vie. »
« J’ai toujours cru que l’instant de la mort est la norme et le but de la vie. Je pensais que pour ceux qui vivent comme il convient, c’est l’instant où, pour une fraction infinitésimale du temps, la vérité pure, nue, certaine, éternelle entre dans l’âme. »(Simone Weil)
Vivement le prochain alors…
rhoooo où est mon âme!!!!!!!