« Le goût, c’est la mort de l’art »

Dans ces conditions, moi vivante, l’art ne mourra pas!

Pour l’anniversaire d’une amie, j’ai eu envie de prendre un peu le temps de bricoler.

Alors, j’ai brodé ça:

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Tambour flashy et message subtil. Tout moi.

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J’ai dû subir les regards et commentaires désapprobateurs de ma moitié tout au long de l’ouvrage. Il était mi-soulagé, mi-catastrophé quand il  a compris que je comptais l’offrir, partagé entre le plaisir de ne pas conserver l’horreur à domicile et la honte de la voir circuler dans un cercle d’amis communs.

Ce petit plaisir que je me suis octroyée ne fait donc pas l’unanimité mais moi, j’adore! Je regrette juste de ne pas avoir coupé les fils des extrémités assez ras. J’ai toujours peur que ça ne tienne pas (à tort je sais) mais on les voit un peu par transparence. Tant pis. Je ferai mieux la prochaine fois. Parce que oui, il y aura une prochaine fois!

 

15 Replies to “« Le goût, c’est la mort de l’art »”

  1. et la suite…. la vie est trop courte pour s’embarrasser de tergiversations, bravo à la brodeuse, ton cadeau est génial

  2. Pour les fils, je suis comme toi, alors je les repasse dans les fils dessous pour pouvoir couper plus loin mais que ça se voit moins.
    J’adore l’idée en tous cas, les hommes ne nous comprennent pas.

  3. Pour couper les fils, moi je les passe sous quelques points avant de commencer…Et sinon autre idée, tu pourrais doubler ta broderie à l’arrière avec un joli tissu ca éviterait la transparence peut être !

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